Le Grand Canyon…Williams

8 juin 2023

New-York et Las Vegas sont bien évidemment des villes à visiter et à mettre dans notre mémoire « interne ». Mais il faut le dire le but initial de ce séjour, d’ailleurs les agences de voyages ne s’y trompent pas : C’est l’ouest américain et le Grand Canyon…

Le cinéma est en grande partie (la littérature aussi !) à l’origine de cette découverte de l’ailleurs. On pense à Hitchcock, les divers western mais en ce qui me concerne voici le film film culte que je place (pour l’instant) au dessus de tout.

Koyaanisqatsi.

Parfois quand on est passionné par un film ou autre on ennuie son auditoire qui lui ne l’est pas forcément ; je vais essayer d’être court.

C’est le musicien Philip Glass qui a fait la musique de ce film qu’on peut qualifier de concerto pour instruments et images. L’auteur de Einstein on the Beach magnifie le Grand Canyon avec sa musique. Le réalisateur Godfrey Reggio nous montre une société toujours trop rapide et qui va à sa perte. La connivence avec la musique répétitive de Philip Glass et son synchronisme tant au niveau philosophique que rythmique est remarquable.

Plein d’autres scènes sont tournées dans d’autres lieux.

Les possibilités de survoler le grand Canyon sont nombreuses, hélicoptère (très cher). nous avons pris l’option survol en avion à partir de Tusayan Grand Canyon National Park Airport.

Film avion (3’21)

Le plus grandiose : Il dépasse toute attente en termes de taille et de magnificence.

Le plus majestueux : Ses parois s’élèvent avec une dignité et une puissance incomparables.

Le plus immense : Son étendue est presque infinie, offrant des panoramas qui s’étirent à perte de vue.

Le plus profond : Ses abîmes donnent le vertige et révèlent des millions d’années d’histoire géologique.

Il faut bien maintenant trouver un hébergement.

Nous avons choisi un motel à Williams.

Williams la porte d’entrée du Grand Canyon, un voyage dans le temps sur la route 66.

Nous entrons dans une atmosphère de petite ville à l’ancienne, imprégnée de l’esprit du Far West et de la nostalgie des années 50 et 60 de la Route 66. Elle a été la dernière grande ville traversée par l’I-40, ce qui lui a permis de préserver son caractère unique après le déclin de la « Mother Road ».

A voir le Grand Canyon Railway

Ca tombe bien c’est la fête dans la ville.

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